On ne déplorera jamais assez
la volonté manichéenne des idéologues politiques ou religieux, de diviser les gens en « bons » et en « mauvais ».
Il n'y a pas d'un côté, les monothéistes en état de grâce et de l'autre, les païens et non-croyants voués à l'enfer.
Ou d'un côté, les braves travailleurs et de l'autre, les méchants patrons.
Il y a l'humain, avec dans chaque catégorie une immense diversité de caractères.
Mais détester « l'autre » est un exutoire si apprécié que personne ne se rebelle contre ces classifications primaires, facteurs de clivage et de haines.
Il n'y a pas d'un côté, les monothéistes en état de grâce et de l'autre, les païens et non-croyants voués à l'enfer.
Ou d'un côté, les braves travailleurs et de l'autre, les méchants patrons.
Il y a l'humain, avec dans chaque catégorie une immense diversité de caractères.
Mais détester « l'autre » est un exutoire si apprécié que personne ne se rebelle contre ces classifications primaires, facteurs de clivage et de haines.