Décidément les
politiciens français sont formatés pour une autre planète.
Mus par l'obsession
légitime de conserver leurs électeurs protéger
les plus faibles, ils menacent à cor et à cri de taxer un
« puissant » (américain, en prime) : Google.
Des fois que le citoyen ébloui les prendrait pour Robin des Bois.
Pour ceux qui veulent en
savoir plus sur cette pantalonnade :
Nos brillantes élites
feraient mieux de s'informer des réalités en lisant les réactions
des internautes, souvent fort bien argumentées. Mais comme tout cela
n'est qu'un attrape-couillons jeu de postures,
j'imagine que lesdites élites se moquent royalement d'être
crédibles, pourvu qu'elles soient crues. Tant pis !
Moi, j'aime à croire que
les esprits libres de l'ère numérique finiront par déborder nos
idéologues garde-chiourmes, et qu'il en sortira un monde nouveau. Un
monde échappant autant que possible à la tutelle des autorités, ô
divine perspective !
Nos représentants ne devraient-ils pas mener
grand train à nos crochets et en échange, nous ficher la paix se
soucier seulement de nous assurer liberté, sécurité et justice,
plutôt que de se mêler de tout en prétendant tout réguler,
vanitas vanitatum ?
Le monde qu'ils nous ont concocté, une inextricable pelote de réglementations absconses qui prétendent nous tenir
en laisse protéger, étouffe peu à peu tout espoir et
toute créativité. Au contraire, le Net tricote peu à peu un univers où déployer nos ailes. Patience ! Le changement, le vrai, est en marche.
Sur internet, les citoyens parlent aux citoyens. La web-liberté d'expression finira par balayer structures sclérosées et calculs politiciens. Et qu'importe si au passage, des Google et
des Facebook s'enrichissent ? Ce qui compte, c'est ce que nous
ferons de nouveau, d'imprévu, de révolutionnaire avec ces outils inespérés. Pour le moins, ce sera passionnant...
En attendant, couper la télé pour surfer
sur la Toile est une bouffée d'air pur. Geeks, je vous aime !