Je profite d'un mieux – ou, à dire
vrai, d'un « moins mal », pour vous livrer quelques
petits billets sur des thèmes laissés en attente.
J'ai conscience de ne plus servir autant que par le passé les
communautés d'auteurs et de blogueurs, sinon à travers mes groupes – merci aux dynamiques admins
qui s'en chargent en majeure partie depuis longtemps ! Toutefois, je peux encore
risquer sur ce blog des réflexions qui, je l'espère, trouveront
quelque utilité.
L'humour, ce condiment que l'on cueille à foison par beau
temps, risque de se faire plus rare sous ma plume. Au stade où j'en
suis, la maladie est une prison où je n'espère plus une remise de
peine, mais seulement la possibilité de sortir de mon cachot pour de courtes promenades. Toutes mes forces sont désormais consacrées à
l'écriture d'Élie et l'Apocalypse, que j'entends bien achever sur
mon élan. (C'est là qu'on réalise l'intérêt des plans détaillés
et des notes, procédés que je dédaignais dans mon jeune temps.) Je ne vous oublie pas pour autant.
L'intégralité de cet article est désormais disponible sur le site monbestseller, ici. Vous trouverez dans les commentaires un surcroît de développement, en particulier sur le perfectionnisme en tant qu'exercice de l'autocritique.
L'intégralité de cet article est désormais disponible sur le site monbestseller, ici. Vous trouverez dans les commentaires un surcroît de développement, en particulier sur le perfectionnisme en tant qu'exercice de l'autocritique.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire