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Mes chers amis,
Pourquoi, pour titrer ce billet, ai-je choisi un avertissement sarcastique aux damnés voleurs de nos vies ?
Parce que je veux vous
exprimer davantage que les vœux d'usage, à l'aube de cette année
2022 qui s'annonce celle de tous les dangers – non pas en
termes sanitaires (au stade où nous en sommes, quelle personne
sensée et un tant soit peu informée croit encore en l'épouvantail
anxiogène du Grand Méchant Virus ?), mais en termes de rapt
délibéré des libertés fondamentales.
Je vous exprime du
fond du cœur mon soutien, ma sympathie, ma compréhension ; y
compris envers celles et ceux qui, abusés par des pouvoirs
politico-médiatiques ayant perdu en chemin toute humanité et tout
sens de leurs devoirs, ont été amenés à se dresser de bonne foi
contre leurs frères et sœurs humains plus lucides ou moins dociles,
désormais considérés comme d'infâmes perturbateurs, voire comme des dangers publics.
Je vous exprime ma
compassion pour toutes les contraintes absurdes, souffrances psychologiques, violations de
droits et même privations de soins que vous avez subies jusqu'à aujourd'hui,
et qui sont malheureusement appelées à s'accentuer si la résistance
à ces maltraitances arbitraires reste ponctuelle, marginalisée, au
lieu de devenir légitimement un immense ras-de-bol populaire.
Mes pensées vont
aux familles endeuillées au cours des 2 années passées, que ce
soit à cause de la covid faute d'administration de traitements
précoces (pourtant exigés par la bonne pratique médicale, comment peut-on l'oublier ?), ou
suite aux effets indésirables d'une réponse « de santé
publique » prétendument miraculeuse.
Le miracle n'est
que financier, pour une industrie avide et sans scrupules qui tire de
votre souffrance des profits démesurés, sans encourir pour autant
le moindre risque juridique, grâce à la complicité de nos élites
dévoyées.
Le miracle n'est
aussi que politique (en version totalitaire), pour les élites en question – depuis les
gouvernants, pantins dociles en même temps qu'addicts à leurs
misérables pouvoirs, jusqu'à leurs puissants donneurs d'ordre, mus par des
objectifs aussi pervers que démentiels.
… « Miracles » purement matérialistes, donc dérisoires et, soyons-en sûrs, provisoires : l'avenir
finira par donner tort à ces sinistres Machiavels, et ils paieront
le prix de leur folie…
Mais quelle
consolation en tireront les innombrables victimes qu'ils auront
détruites au passage ? À quel point aura régressé
l'humanité, réduite par leurs soins à une sous-condition qui – au
nom d'un « progrès » technologique transformé en
instruments de contrôle des masses et en solutions délirantes pour milliardaires affolés par l'idée de leur propre mort – aura nié des millénaires
d'évolution accomplie pas à pas, au prix du sang, en termes
d'éthique et de droits de l'Homme ?
2022 sera l'heure du choix. Il est encore temps
de dire « stop ! » à ces dérives dystopiques.
Dérives dont, moi qui suis au bout de ma vie, je ne verrai sans
doute pas les conséquences. Je formule ardemment l'espoir que vous
ne les verrez pas non plus, ni nos enfants, parce qu'elles auront échoué comme elles
le méritent.
J'ai dû prendre
mes distances avec mes proches pour les tenir à l'écart de mes
propres positions : chacun agit et agira, ou non, comme il le
souhaite. Mon rôle n'est pas d'appeler à la sagesse, à l'éveil des
consciences, d'exhorter à s'informer sainement au lieu de se laisser
bourrer le mou par des intervenants manipulateurs, pourris de
conflits d'intérêts. Je crois à l'autodétermination de chaque
personne.
Bien sûr, vous, mes amis,
faites aussi comme vous l'entendez, dans un sens ou dans
l'autre : seul compte votre libre-arbitre intégral, assumé.
Aujourd'hui, quelle que soit la cause de votre mal-être ou de vos
craintes, je veux juste vous dire : tenez bon. Gardez courage.
Le pire n'est jamais certain, et la vie est infiniment plus forte, en
fin de compte, que tous les tyrans « hors sol » qui
prétendent en disposer.
Adressez une pensée
fraternelle, plutôt qu'agressive, aux personnes qui ne partagent pas
votre point de vue : chacune a ses raisons, que vous les jugiez
ou non raisonnables ; chacune en paie ou en paiera le prix d'une manière ou
d'une autre. Au bout du compte, la division, l'affrontement sont le plus à craindre : ils ne font jamais que des perdants.
Prenez soin de
votre santé. Attachez-vous à profiter de chaque instant de
l'existence. Veillez tendrement sur le moral des plus vulnérables, comme nos aînés et nos jeunes, et ne laissez pas des
injonctions stupides et mortifères vous éloigner des personnes que vous aimez. Je me suis résignée à cette extrémité pour des motifs impérieux ; vous, il faut
vous y refuser. Nous avons, ils ont besoin d'amour et de contacts physiques,
tout comme de nature, de rires, de projets…
Bref, restez
intensément vivants. C'est cela aussi, résister.
Bonne chance à toutes et à tous.